Dimanche 31 Janvier 2010 est le dernier délais.
Sources: Océan FM-APS
Le Fonds mondial pour la nature (WWF, en anglais) invite ses Etats membres à présenter, au plus tard dimanche comme convenu, les objectifs et les détails de leurs programmes de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Les quelque 192 pays représentés au sommet de Copenhague, en décembre dernier, doivent présenter les objectifs et les détails de leur programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, au plus tard dimanche, rappelle un communiqué du WWF transmis à l’APS.
’’Ce qui s’est passé à Copenhague est dommage et décevant. Le moins que l’on puisse dire, c’est que plus que jamais nous devons agir ensemble pour renforcer notre pouvoir de négociation, ce qui nous permettra de développer des stratégies pour les engagements à venir’’, a affirmé Hama Sow, coordinatrice pour l’Afrique du Programme global sur le climat, un service du Fonds mondial pour la nature (WWF, en anglais).
’’L’élan de l’Afrique en direction de Copenhague était grand et il est venu le temps de faire des messages plus positifs pour que le changement climatique soit vu comme un investissement intéressant dans une démarche plus durable, plus juste et plus équitable’’, a ajouté Mme Sow, citée par ce texte.
’’Le changement climatique n’est pas un problème qui disparaîtra, a-t-elle fait savoir, mais un problème qui va empirer et (qui sera) plus dur à gérer plus on reporte les actions efficaces à mener.’’
’’Dimanche est le dernier délai que les pays se sont fixés pour présenter ce qu’ils vont faire pour mettre l’humanité hors de danger’’, rappelle le texte.
Les pays émergents, le groupe de base (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine) ont fait part, la semaine dernière, de leur intention de respecter le délai du 31 janvier avec plus de détails sur les programmes de mitigation volontaire de l’accord’’, a dit Kim Carstensen, responsable du Programme global sur le climat.
’’C’est une avancée notoire pour ce groupe de grands pays en voie développement. Nous nous attendons, a ajouté Carstensen dans le texte, à ce qu’ils annoncent des niveaux d’ambition plus élevés et suivent de façon urgente avec des plans d’action clairs, au niveau national, pour atteindre cela.’’
’’Les propositions de réduction qui étaient sur la table à Copenhague nous mettaient clairement dans un monde de plus de 3 degrés ou plus donc plus chaud, sans même prendre en compte les grandes failles permettant aux pays de revendiquer des réductions d’émission douteuses…’’, a-t-il rappelé.
’’WWF travaille pour des objectifs entre 25-40% du niveau de 1990 d’ici à 2020 pour les pays développés. Pendant le sommet de Copenhague, seule la Norvège avec pour objectif de réduction de 40%, avait atteint ce niveau d’ambition’’, fait savoir la même source.
Le Japon, selon cette source, a annoncé un objectif de moins de 25%, tandis que ’’l’Australie, cette semaine, a déçu en annonçant son intention de rester à un objectif de 5% de réduction’’.
envimédias.
’’Ce qui s’est passé à Copenhague est dommage et décevant. Le moins que l’on puisse dire, c’est que plus que jamais nous devons agir ensemble pour renforcer notre pouvoir de négociation, ce qui nous permettra de développer des stratégies pour les engagements à venir’’, a affirmé Hama Sow, coordinatrice pour l’Afrique du Programme global sur le climat, un service du Fonds mondial pour la nature (WWF, en anglais).
’’L’élan de l’Afrique en direction de Copenhague était grand et il est venu le temps de faire des messages plus positifs pour que le changement climatique soit vu comme un investissement intéressant dans une démarche plus durable, plus juste et plus équitable’’, a ajouté Mme Sow, citée par ce texte.
’’Le changement climatique n’est pas un problème qui disparaîtra, a-t-elle fait savoir, mais un problème qui va empirer et (qui sera) plus dur à gérer plus on reporte les actions efficaces à mener.’’
’’Dimanche est le dernier délai que les pays se sont fixés pour présenter ce qu’ils vont faire pour mettre l’humanité hors de danger’’, rappelle le texte.
Les pays émergents, le groupe de base (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine) ont fait part, la semaine dernière, de leur intention de respecter le délai du 31 janvier avec plus de détails sur les programmes de mitigation volontaire de l’accord’’, a dit Kim Carstensen, responsable du Programme global sur le climat.
’’C’est une avancée notoire pour ce groupe de grands pays en voie développement. Nous nous attendons, a ajouté Carstensen dans le texte, à ce qu’ils annoncent des niveaux d’ambition plus élevés et suivent de façon urgente avec des plans d’action clairs, au niveau national, pour atteindre cela.’’
’’Les propositions de réduction qui étaient sur la table à Copenhague nous mettaient clairement dans un monde de plus de 3 degrés ou plus donc plus chaud, sans même prendre en compte les grandes failles permettant aux pays de revendiquer des réductions d’émission douteuses…’’, a-t-il rappelé.
’’WWF travaille pour des objectifs entre 25-40% du niveau de 1990 d’ici à 2020 pour les pays développés. Pendant le sommet de Copenhague, seule la Norvège avec pour objectif de réduction de 40%, avait atteint ce niveau d’ambition’’, fait savoir la même source.
Le Japon, selon cette source, a annoncé un objectif de moins de 25%, tandis que ’’l’Australie, cette semaine, a déçu en annonçant son intention de rester à un objectif de 5% de réduction’’.