dimanche 31 mai 2009


AVANCEE DE LA MER

SOS: Malika est en danger

La mer avance à pas de géant partout dans le littoral du pays। Mais à Malika la situation est grave। Il y a de cela 10jours, les eaux avaient envahi une partie d'un campement qui était occupe par des enfants tout près de la bande des filaos. Selon les informations recueillies auprès des conseillers municipaux de la mairie de cette localité, la mer a avancé de plus de 30 mètres ces derniers temps. La principale cause de cette avancée dangereuse de la mer est sans doute l'extraction du sable marin dans la carrière située à hauteur de Mbeubeus. Une situation qui inquiète les populations mais aussi les autorités municipales qui ont lancent un appel à l'Etat pour qu'une solution définitive et durable soit trouvée avant qu'il ne soit trop tard. Je vous propose d'écouter Gora NIANG, il est conseiller minucipal chargé de l'environnement à la mairie de Malika.......

lundi 25 mai 2009


Déforestation en Casamance : Coupe abusive et illégale des réserves de forêts.

Si on y prend garde, les forêts de la région naturelle de Casamance vont disparaître dans les prochaines décennies. La menace est réelle et s’explique par l’ampleur de l’exploitation des réserves de bois qui font sans doute le charme de cette région méridionale du Sénégal. Le phénomène est pire dans le Nord de la région. Les communautés se mobilisent, le défi est grand mais pas impossible.
«Force restera toujours à la loi »
De la déforestation vers le désert
L’ONU réaffirme sa détermination à promouvoir la protection de la nature
La forêt recule de plus en plus du fait des agressions
Les forêts de la moyenne Casamance font l’objet d’une exploitation illégale et abusive aussi bien par des nationaux que par des sujets étrangers, constat fait par les forces de sécurité de la région de Kolda à l’issue de plusieurs arrestations. Le phénomène est plus accentué dans la façade Nord de la région de Sédhiou frontalière à la Gambie. Cette agression à outrance du couvert végétal perturbe l’équilibre de l’écosystème et compromet de fait le secteur de l’agriculture qui occupe l’essentiel des populations de la zone. C’est donc partant de ce constat pour le moins amer et alarmiste que le guide religieux de Diallokunda Eh Hadji Mamadou Diallo a initié il y a deux mois des journées de sensibilisation sur l’enjeu de la protection individuelle et citoyenne de l’environnement : « j’ai initié ces rencontres pour montrer que nous, guides religieux, avons notre rôle à jouer dans la construction nationale. Nous constatons que la forêt est vraiment entrain de reculer du fait de l’action destructrice de l’homme. Et les conséquences seront très fatales pour nous les premiers concernés car, une fois l’écosystème perturbé, il n’y aura plus d’eau en quantité suffisante et les usagers comme nous les humains et les autres êtres vivants vont en pâtir atrocement. Les productions agricoles vont chuter » a indiqué El hadji Mamadou Diallo. Et de poursuivre : « Ce qui, à mes yeux représente une réelle préoccupation eu égards au coût de plus en plus cher de la vie. Cela permet de susciter une réflexion profonde autour de l’enjeu de la protection de la nature qui est un devoir qui nous interpelle tous. Nous osons espérer qu’à l’issue de ces assises, nombre de personnes en tirerons les enseignements nécessaires ». S’exprimant au sujet de la responsabilité collective de la préservation de la nature, Khassoum Diop un habitant de Kanikunda fait remarquer ceci « si nous avions très tôt eu un agent des Eaux et Forêts ici dans la zone, on ne serait pas à ce niveau de pauvreté et de dégradation très avancé des forêts. Car ici, il y’a beaucoup qui n’ont jamais fréquenté l’école, par conséquent, n’ont aucune notion du danger que représente la désertification. Et quand tu tentes de les convaincre, on te prend pour un marginal de la société. Heureusement que nous-mêmes avons maintenant pris conscience de la gravité de l’affaire et envisageons de renforcer la sensibilisation par l’entremise des comités de surveillance ». A sa suite, Omar BA, un habitant de Nioro Diataba en République de Gambie de relever que « la mort de la forêt dans cette zone jadis très touffue de végétation est synonyme de galère et de famine chez les populations qui seront contraintes de trouver des ressources additionnelles ou de migrer vers d’autres cieux jugés plus cléments en raison de l’incertitude du lendemain que cela va sans doute entraîner dans notre vécu quotidien. A mes yeux, cela sonne comme un avertissement qui prévient de l’imminence du drame. Nous partageons les mêmes réalités et devons se dire certaines vérités pour préserver notre avenir dont la cohésion sociale dépend en partie de la bonne santé de l’environnement». De même, les nombreux témoignages des villageoises et des villageois corroborent cette déclaration de Omar Bâ.

Lamine Touré (Sédhiou)
Publie le Dimanche 16 Novembre 2009 par pressafrik.com
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mardi 19 mai 2009

EVACUATION DES ORDURES MENAGERES EN PERIODE D'HIVERNAGE

''Les autorités doivent convoquer dans les plus brefs délais une réunion de coordination avec tous les acteurs'' selon Ndiagua DIAWARA DU SINAPRONE''.

Le secrétaire général du Syndicat National des Professionnels du Nettoiement et de l'Environnement [SINAPRONE] , Ndiagua DIAWARA, qui est par ailleurs adjoint du coordonnateur du Front Unitaire des Syndicats du Nettoiement, demande aux autorités en charge de la questions du ramassage des ordures dans la ville de Dakar de mettre sur pied dans les plus brefs délais un cadre de concertation et de dialogue pour faire face aux consequences de l'hivernage qui pointe à l'horizon. Selon Mr DIAWARA,qui cite le Ministère de l'environnement et l'entente CADAK-CAR, dirigée par Mr Lakhssane CISSE, ce cadre de concertation doit regrouper tous les acteurs du nettoiement, sans exception, et est le seul moyen pour faire face à cette question. La suite.... je vous propose de l'écouter. Il étais mon invité dans l'émission ''DEUKOUWAAY''que j'anime tous les mardis de 20h à 21 h sur Océan FM....

dimanche 17 mai 2009

TRAITEMENT DES ORDURES SUR LES SITES D'ACCUMULATION

Les hommes du colonel Pape Salla MBOUP sont a pied d'oeuvre

Les hommes du chef du Service d'hygiène de Dakar sont entrées en action ce matin. Des véhicules de terrain et du matériel de ramassage des ordures sont mobilises. Selon le Colonel Pape Salla MBOUP, cette opération de traitement des ordures fait suite une instruction du ministère de la santé et de la prévention et concerne essentiellement les sites d'accumulation. L'objectif est d'éviter le développement de germes néfastes a la santé. Le service d'hygiène est charge de mener cette opération de désinfection et de désinsectisation avant l'installation de l'hivernage. Je vous propose d'écouter le colonel Pape Salla MBOUP......

OPERATIONS PRE-HIVERNALES

Le Ministère de la Santé et le Service d'hygiène entrent en action

Mme Thérèse Coumba Diop, ministre de la Santé, de la Prévention et de l’Hygiène Publique a commis le Service National d’Hygiène pour effectuer des opérations de traitement des ordures afin d’empêcher le développement de germes néfastes et la prolifération d’insectes nuisibles à la santé des populations". C’est en tout cas ce que nous renseigne un communiqué du Service National de l’Éducation et de l’Information Pour la Santé (SNEIPS) distribué a la presse.

Selon ce communique "Les opérations de traitement consisteront en l’aspersion de produits désinfectants et d’insecticides sur tous les sites d’accumulation d’ordures. L’intervention du Service national d’Hygiène durera le temps nécessaire pour assurer un traitement complet de l’ensemble des sites identifiés à travers le territoire national. Les amoncellements d’ordures identifiés dans les départements de Dakar, Guédiawaye et Pikine sont actuellement traités. Le Service National d’Hygiène est en train de s’attaquer aux autres sites identifiés au niveau des régions". Le Ministre de la Santé, de la Prévention et de l’hygiène Publique "appelle les populations à collaborer avec les agents d’hygiène mobilisés à cet effet".

Synthèse Ahmadou DIALLO
Source ferloo.com/SNEIPS/APS
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mardi 12 mai 2009

BAISSE DE 24 % DE LA PRODUCTION CEREALIERE DU SENEGAL

"Il faut importer, encore importer, beaucoup importer, toujours importer pour se nourrir''.....où est la GOANA?

La Grande Offensive Agricole pour la Nourriture et l'Abondance (GOANA) est une initiative du chef de l''Etat, Maître Abdoulaye. Elle résulte du constat suivant : la production agricole du Sénégal demeure encore largement tributaire d`un régime pluviométrique soudano-sahélien qui offre un temps de travail annuel n`exédent pas trois mois et une vulnérabilité très forte aux aléas climatiques. Ainsi l`idée était donc de créer une grande offensive pour augmenter fortement la production agricole nationale, dès la campagne hivernale de 2008 à venir.


Spécifiquement, il s`agissait de produire 2.000.000 tonnes de Mais, 3.000.000 tonnes de Manioc, 500.000 tonnes de riz et plus de 2.000.000 tonnes pour les autres céréales. Mais après, le constat est là. Le Sénégal n'est pas encore capable de nourrir sa population. Il lui faut importer, encore importer.....toujours importer. Alors que des pays de la sous région, comme le Mali ont réussi le pari de l'autosuffisance en riz. La question est donc de savoir à quoi à servi la GO ANA? Malgré tout le tintamarre fait autour. Pour rappel, lors de la fête de la moisson, appelée spécialement l'année dernière, "Fête de la GOANA'' et qui a été célébrée en grande pompe à la place de l'indépendance, lieu symbolisant notre indépendance', le chef de l'Etat, Maître Abdoulaye WADE, s'était ''félicitait des bons résultats de la GOANA''. On avait annoncé une production record de plus de 1 million 800 mille tonnes de céréales. Avec une répartition comme suit: 378 mille tonnes de riz, 722 mille tonnes de mile, 216 mille tonnes de sorgho et 502 mille tonnes de mais. Mais en réalité rien. On se rend compte que le Sénégal est loin d'être indépendant sur le plan alimentaire. En effet, d'après le bulletin d'analyse annuel de la situation économique et sociale du Sénégal de l'Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), rendu public ce lundi 11 Mai, et repris par plusieurs sites et Agences de Presse, la production céréalière du Sénégal a chuté de 24%. Notre pays n' a pu produire que 772 239 tonnes. Selon toujours l'ANSD, cette situation est principalement due au retard accusé dans le démarrage de l'hivernage 2008 sur l'ensemble du pays. Cependant, du coté des responsables de l'agriculture, on informe que ces chiffres sont loin de refléter la réalité. Ils n'ont rien à voir avec ceux de la GOANA. Alors où se trouve la vérité. Pourquoi n'a t'ont pas publié ces chiffres? En tout cas, la GOANA a nécessité, tant de moyens et de bruits. Et elle continue de etre. Pour certains, " la Grande Offensive Agricole pour la Nourriture et l'Abondance, n'était qu'un moyen pour faire de la politique et préparer les locales du 22 Mars derniers en vue de contrôler le monde rural". D'autres avaient même émis des doutes sur les produits exposés lors de la fête de la moisson ou de la GOANA, à la place de l'indépendance. "En réalité ils n y avait que des produits plastiques; autrement dit du riz, du Mais du Sorgho en plastique'' avait dit un observateur. Est ce la vérité?......A vous de juger.
Ahmadou DIALLO

dimanche 10 mai 2009

JOURNEE MONDIALE DES OISEAUX MIGRATEURS




ALERTE SUR LES OBSTACLES DE VERITABLES MOUROIRS.

La 4ième édition de la journée mondiale des oiseaux a été célébrée le samedi 9 mai 2009 à Mbour autour du thème « Les obstacles à la migration ».Ils sont considérés comme de véritables mouroirs. Des lycéens et collégiens ont été conviés à suivre une conférence sur le thème et à une visite du site ornithologique de l’Ird (Institut de recherches et de développement).

Le docteur Moussa Séga Diop ,a développé le thème devant un public fait en grande partie d’élèves .Spécialiste et responsable de la Biodiversité à Wetlands International Afrique ,il a fait la révélation sur l’état actuel d monde avicole qui donne 27 ordres pour 10 000 espèces d’oiseaux identifiées allant du plus petit le calypse d’Hélène au plus grand ,l’autruche.
Les obstacles qui entravent les déplacements des oiseaux ont pour noms les parcs éoliens ,les lignes électriques ,les mâts d’antenne Tv et Gsm ,les surfaces vitrées ,les grands bâtiments et autres constructions. Les oiseaux périssent en grand nombre du fait de ces éléments cités s’ils ne sortent pas avec des blessures. La sensibilisation pour la survie des oiseaux migrateurs entrent dans initiatives comme la célébration de la journée . Ces obstacles dits anthropiques recensés le long des voies de migration sont appelés à faire l’objet d’une attention pour le danger qu’ils représentent pour les oiseaux . Pour un développement durable ,une demande est faite pour une réduction à un niveau minimal des menaces dues par ces obstacles.
Il a ,auparavant défini la migration, en mettant l’accent sur l’aspect de mouvement périodique d’une espèce d’une région à une autre,d’un climat à un autre. A l’en croire,le phénomène de la migration des oiseaux est complexe. Malgré tout ,une estimation donne 300 millions d’oiseaux migrateurs dont 300 espèces d’eau douce .Ainsi ,sur un espace de 119 pays à l’échelle planétaire ,des sites de migration lieux de reproduction de séjours ou d’escale sont identifiés. Quatre grands axes ont été énumérés par le conférencier. Ils se présentent en bande méridienne ,des couloirs,le long de l’Amérique ,un axe Europe-Afrique, un couloir Asie –Afrique de l’Est et du Sud et un axe le long du Pacifique .
La conférence est suivie de questions avec l’intervention des techniciens de l’ornithologie à la retraite ,Mamadou Sakho et Lindor Mbaye Fall des ex agents de l’Ird de capter l’attention de l’assistance sur le monde passionnant des oiseaux . Une visite guide au niveau de l’Ird a permis aux élèves de découvrir le musée de collection des oiseaux et un observatoire en plus de nids artificiels mis en place.
Samba Niébé BA journaliste à Sud Quotidien membre du RECORC




COOPERATION SENEGAL-BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT

Six stations de pompage mises en service dans les Parcelles Assainies à Dakar.

Six stations de pompage d’eaux usées ont été construites, deux autres réfectionnées aux Parcelles Assainies et la capacité de traitement de la station de Cambérène presque doublée, grâce à un prêt de cinq milliards et demi de francs CFA du Fonds africain de développement (FAD), membre de la Banque africaine de développement (BAD).



Les nouvelles stations de pompage d’eaux usées des unités 2, 9, 13, 17, 22 et 23 des Parcelles Assainies (banlieue de Dakar) ont coûté 2,3 milliards de francs CFA, indique l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS), chargé de la coordination de ce projet.
Les stations de pompage des Parcelles Assainies ont été mises en service en septembre dernier, tandis que la station d’épuration de Cambérène est opérationnelle depuis janvier dernier. Les travaux de ces infrastructures avaient démarré en 2007.
La capacité de traitement de la station de Cambérène (banlieue dakaroise) est passée de 9.000 à 17.000 mètres cubes par jour.
Ce financement de la BAD a permis aussi à l’ONAS de ’’restructurer’’ un réseau d’assainissement de 20 km.
Quelque 198.000 personnes bénéficient d’un réseau de collecte des eaux usées dans les Parcelles Assainies grâce à ces ouvrages, indique l’ONAS, lprécisant que les eaux usées produites actuellement par 300.000 personnes sont traitées contre 159.000 personnes avant.
’’Depuis que la station de pompage est opérationnelle, en janvier dernier, les eaux ne stagnent plus ici, devant notre école. Avant, notre école était souvent envahie par des eaux venant de Golf Sud, suivant la pente’’, témoigne Léonie Goudiaby Trougnac, directrice de l’école privée élémentaire ’’Les Lurons’’ de l’unité 2 des Parcelles Assainies.
’’On devrait pouvoir faire de sorte que ça ne pue pas’’, pense Mme Trougnac dont l’école se trouve à quelques dizaines de mètres de la station de pompage.
’’Une mauvaise odeur se dégage parfois de la station, mais depuis son installation les eaux usées ont quitté la rue’’, remarque Mamadou Mbaye, un artisan établi à quelques mètres de la station.
Aucune personne n’était sur place vendredi au passage d’un reporter de l’APS, afin de dire pourquoi ’’une mauvaise odeur’’ se dégage de la station dont le portail restait entrebâillée.
Source: Agence de Presse Sénégalaise
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vendredi 8 mai 2009

CURAGE DU CANAL IV DE FASS COLOBANE-GUEULE TAPEE

Un danger pour la santé des populations environnantes.

Le service d'hygiène de Dakar lance un appel au tout nouveau président du conseil régional EL Hadj Malick GAKOU pour résoudre le probléme de l'insalubrité dans la capitale. En effet, par la voix du chef de service d'hygiène de Dakar, les chargés de l'hygiène des populations sollicitent de la part des nouveaux élus de prendre en main ce probléme. "Il faut que l'ensemble des maires s'investissent au niveau de la collecte des ordures'', a indiqué, ce mercredi 07 Mai lors de la réunion du conseil régional de Dakar axée sur les inondations, Alla Ngome, le chef de servise d'hygiène de la capitale. Avant de se désoler de l'état du canal IV. Selon ce dernier, depuis l'arrivée du régime libéral '' ce canal n'a jamais été nettoyé''. A cet effet, l'adjudant-chef Alla Ngome a demandé au nouveau Président de Conseil Régional de nettoyer le canal qui constitut un réel danger de santé publique pour les pôpulations environnantes. "L'hygiène est fondamental'', dira en fin l'adjudant-chef.
Article publié par Sophie Barro de Walf Grand place le 08 Mai 2009.
Repris par envi-medias.blogspot.com

LUTTE CONTRE LES INONDATIONS A DAKAR

Les élus locaux de l'opposition montrent le chemin à l'Etat et veulent éviter "le phénomène de 2008''.


Les élus locaux de la région de Dakar ont mis sur pied ce jeudi 7 Mai 2009 un comité régional technique pour faire face au phénomène des inondations devenu récurrent dans la capitale. Ce comité sera coordonné par le conseil régional dirigé par El hadj Malick GAKOU.

Une décision prise lors de la rencotre du cadre de concertation des élus de la région de Dakar. Une rencontre qui a vu la participation de tous les représentants des collectivités locales de la région, notamment les nouveaux maires des villes de Dakar, Guédiawaay, Pikine et Rufusque mais aussi des communes d'arrondissement et des deux communautés rurales que compte la région. C'est comme si les nouveaux maires voulaient faire comprendre aux populations qu'ils ont tiré des leçons des conséquences des inondations de l'année dernieres. Mais aussi éviter ce qui est arrivé à l'Etat qui avait fait face à des frustrations, parfois meme à des soulévements des polpulations de la banlieue. Des soulévement qui, sans nul doute ont en défaveur du parti au pouvoir devenu incapable de régler le probléme. Conséquence, l'opposition en a profité et a remporté les élections locales du 22 Mars 2009 dans plusieurs localités de la capitale. Déja, à en croire El Malick GAKOU, le tout nouveau Président deu Conseil régional de Dakar, ils ont instruit le directeur de l'ARD( Agence Régionale de Développement) présent lors de la rencontre, de mettre en place et de présider un comité technique en charge d'adopter un plan d'action prioritaire capable de prendre en charge toutes les préocupations liées aux questions des inondations. Selontoujours le Président du Conseil Régional de Dakar '' la capitale Dakaroise, plus particuliérement sa banlieue, est souvent confrontée à des problémes d'inondations qui fatiguent les populations'' et il poursuit ''c'est pourkoi en tant qu'élus, les nouveaux conseillers doivent prendre leurs reponsabilités et agir non seulement pour prévenir les conséquences des inondations mais aussi pour etre pres des populations''. Les élus ont aussi mis sur place auprès de l'ARD, un fonds de solidarité régional. Ce fonds se chargera d'aporter "un appui fonctionnel et dynamique" aux collectivités locales de Dakar selon Mr GAKOU. En fin, les nouveaux maires veulent etre plus concret et cela dans les pus brefs délais. Ils comptent démarrer à partir du dimanche 10 Mai, par une visite des sites toujours inondés de la région de Dakar. L'ojectif final est de mettre sur pied un programme régional anti inondation. Reste à savoir si ces élus pourront régler seuls ce probléme sans l'apport de l'Etat? Ou vont-ils collaborer avec les autorités? Cependant il est claire qu'ils veulent montrer ainsi à l'opinion pulblic que les autorités avaient tardivement réagi.

Ahmadou DIALLO

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mercredi 6 mai 2009

ACCES A L'EAU POTABLE ET A L'ASSAINISSEMENT


Le Sénégal pourrait atteindre ses objectifs avant 2015 selon Mouhamed Fadel NDAW, coordonateur du PEPAM.

De façon générale, la préoccupation majeure du Programme d'Eau Potable et d'Assainissement du Millénaire (PEPAM) est de réduire sensiblement les problèmes d’eau et d’assainissement dans les prochaines années, notamment d'ici à 2015, conformément aux Objestifs du Millénaire pour le Dévéloppement(OMD). Ainsi, à en croire Mouhamed Fadel NADW qui est le Corrdonnateur de ce programme, notre pays devrait etre en mesure d'atteindre ces objectifs si les tendances actuelles se confirment. Il était l'invité de ce mardi dans l'émission "DEUKOUWAAY" que j'anime tous les mardis sur Océan FM.
En ce qui concerne la problématique de l'acces à l'eau potable par exemple, Mr NDAW informe qu'a l'heure actuelle le taux d'accés tourne au tour de 59 % par aduction d'eau et de 16 % à partir des puits modernes protégés et des forages équipés. Concernant le taux moyen de disponibilité des forages ruraux, il se situe autour de 90 % au niveau national. En milieux urbain, le taux d'accés global à l'eau potable se maintient à un niveau stisfaisant de 98 %. Le seul retard constaté concerne l'assainissement a laissé entendre le coordonnateur du PEPAM. Aujord'hui le taux d'accés en milieux urbain est de 63,9 % en 2007 à 63,4 à fin 2008, soit une baisse de 0,5 point par rapport à l'objectifs de 2008 qui était de 65,9 %. Ce retard est du, d'une maniére génétale, au retard dans le démarrage de certaines stations de pompage. Mr NDAW a également souligné d'autres difficultés comme le probléme de maintenance de certains forages en milieux rural ou les infrastructures tombent en panne trés souvent.
Ahmadou DIALLO
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dimanche 3 mai 2009

GESTION DES COLLECTIVITES LOCALES DE LA CAPITALE


Les délégués de quartier de Dakar veulent etre plus impliqués.

Au sortir des élections locales du 22 mars derniers, la plupart des communes d'arrondissement du département de Dakar ont changé de maire. Un changement du, sans nul doute, à une volonté exprimée des populations qui traversent une situation difficile par ces temps qui courent. Les délegués de quartiers réunis au tour d'une association, pensent que les nouveaux maires doivent tirer des leçons des dernieres elections locales en leur impliquant beaucoup plus d'avantage dans la plitiques de décentralisation. Cela, selon Mr Amadou TALL, Président des délegués de quatiers de la commune d'arrondissement des Parcelles Assainies, pour etre plus proche des populations à la base. En effet, estime Mr TALL, qui est également le Président de l'Association départementale des ces delegues, les equipes sortantes ont certes fait preuve d'écoute et d'attention aupres des populations, cependant beaucoup reste à faire dans ce sens clament ils. D'une manieres générale la plupart des délégués de quartier se felicitent de l'esprit d'ouverture dont a fait montre l'ancien maire de la ville de dakar, Pape DIOP qui, selon eux, est l'initiateur de leur association au niveau ddu departement. D'autres part contre, c'est le cas de Issa SIS, President des delagues des HLM et de Segua BARRY de Fass Colobane GUEUL TAPPE, pensent que leurs maires respectifs n'a pas du tout fait preuve d'ecoute et d'ouverture vers les populations. Par exemple Mr BARRY ''je me suis rendu a plusieurs reprises a la mairie pour rencontrer Mr le Maire je n'ai jamais arrive a le voir a cause des intermediares.....''. Selon lui les maires doivent revoir leur entourage ''qui le plus souvent ne joue pas le jeu et empeche les gens de voir leur maire ''. Ainsi les maires attendent beaucoup des nouveaux maires dans les secteurs prioritaires comme l'assainissement, la voirie, l'éclairage public, la gestion des marche, la securite,... Je vous propose ici quelques émissions de ''DEUKOUWAAY'' (cadre de vie en wolof)avec les délegués de quartier.
Ahmadou DIALLO envi-medias.blogspot.com