dimanche 6 juin 2010

SITUATION DE LA BIODIVERSITE AU SENEGAL

Baisse drastique des éléphants dans le Parc Niokolo Koba, selon son conservateur

Tambacounda, 6 juin (APS) - Le Parc national du Niokolo Koba a enregistré une ‘’baisse drastique’’ des effectifs chez certaines espèces emblématiques comme les éléphants et les élands de derby, même si à ce jour il est généralement reconnu qu’aucune espèce n’est encore perdue depuis sa création en 1954, a indiqué son conservateur le commandant Samuel Diémé.
‘’Il y a une baisse drastique et ça, c’est indéniable. Des espèces comme les éléphants, depuis maintenant plus de 5 ans on ne les voit plus’’, a dit le commandant Diémé, en marge de la cérémonie officielle de clébration de la journée mondiale de l’environnement.
Le thème de l’édition était : ‘’Des millions d’espèces – une planète – un avenir commun’’. La direction du Parc national du Niokolo Koba (PNNK) en a profité pour organiser une journée portes ouvertes.

Selon M. Diémé, un débat est encore en cours pour déterminer ‘’à partir de quand la girafe a été perdue au Sénégal : avant ou après la création du parc’’.

Si, a-t-il ajouté, l’hypothèse basée sur certaines informations, faisant état de sa disparition au Sénégal avant la création de la réserve se vérifie, ‘’on peut affirmer qu’aucune espèce n’est perdue’’ depuis la création de l’aire protégée.

Toutefois deux espèces du parc, à savoir l’éléphant et l’éland de derby, sont ‘’dans une situation difficile’’ dans cette réserve de 913.000 hectares avec plus de 80 espèces.

Pour ce qui est des éléphants, seules leurs traces sont visibles. ‘’Des empreintes de 10 jours, ou d’hier ou des crottes très fraîches, pouvant vous indiquer que l’éléphant est passé il y a une heure’’, a-t-il noté affirmant que le ‘’contact visuel’’ avec ces spécimens est devenu impossible.

Le conservateur explique cette difficulté à les voir par le fait que ‘’ce sont des espèces qui se sentent menacées’’, dotées d’un ‘’odorat très développé’’ leur permettant de sentir la présence humaine à ‘’à des kilomètres’’.

Quand ils sentent qu’il y a des agents qui arrivent et ils s’en vont, et comme c’est dans la forêt avec un accès difficile, si vous les poursuivez, vous n’arrivez pas à les rejoindre’’, a-t-il expliqué.

Toujours est-il que le responsable affirme avec conviction la présence d’éléphants. ‘’En tant que gestionnaires, nous sommes sûrs qu’il y a des éléphants en nombre très restreint, moins de dix éléphants, ça c’est sûr, a dit le commandant Diémé, je ne pense pas qu’on puisse trouver plus de dix éléphants dans le Parc national du Niokolo Koba’’.

Les agents du Parc sont cependant ‘’un peu’’ rassurés, par la présence de traces de ‘’petits’’. ‘’Est-ce que ça veut dire que le groupe qui est là est viable et peut se développer ? Possible, mais on ne peut pas l’affirmer’’, a-t-il dit.

Cette ‘’baisse sensible de certaines espèces emblématiques qui attirent les touristes’’, a réduit le nombre de visites. ‘’Bien que nous recevons encore des touristes, la fréquentation a baissé’’, a-t-il indiqué, précisant leur nombre varie entre 6.000 à 7.000 visiteurs par an.

‘’Un touriste qui vient une, deux fois sans voir d’éléphant, ou autres, peut être découragé, d’autant plus que les conditions d’accès sont difficiles’’, a dit Samuel Diémé.

Une autre espèce ‘’très rare’’, l’éland de derby, dont la présence au PNNK est l’une des ‘’plus sûres dans le monde’’, a connu aussi une baisse de ses effectifs.

Ce mammifère, dont des interrogations subsistent sur la possibilité de le trouver en Sierra-Leone ou dans certaines zones, était présent en ‘’grands troupeaux (au PNNK), mais aujourd’hui, nous tournons en moyenne autour de 150 individus’’, a noté le gestionnaire du parc.

Par contre, concernant les lions, les agents du parc ont l’‘’impression qu’ils augmentent’’, vu les contacts ou cris de ce fauve qui leur sont rapportés.

Un protocole a été signé par la Direction des parcs nationaux avec ‘’quelqu’un qui se dit spécialiste des lions’’, afin de faire un inventaire qui, ‘’seul’’ pourra confirmer cette tendance.

Le PNNK compte aussi ‘’des troupeaux’’ de lycaon, cette espèce qui ‘’ressemble exactement au chien’’, mais vivant dans la nature et qui figure la ‘’liste rouge de l’UICN, au plan mondial’’.

Un projet d’inventaire de la faune est prévu en 2011, a dit M. Diémé, relevant le caractère ‘’difficile’’ du décompte des bêtes sauvages. Un programme de suivi des élands de derby avec le Programme de gestion intégré des écosystèmes du Sénégal (PGIES), avait été abandonné, par le passé, a-t-il dit.

Ce projet qui consistait à neutraliser des individus afin de leur attacher des colliers électroniques, pour pouvoir les suivre sur son ordinateur grâce au satellite, avait échoué, faute de conditions favorables pour sa mise en œuvre.

‘’Nous avons l’intention d’aller vers cela, on ne peut plus continuer à gérer la faune de manière traditionnelle’’, dit le conservateur. ‘’J’ai été en Afrique du Sud, là-bas, vous avez le complexe. Ils ont tout à partir de leur ordinateur’’.

Il a noté que le visiteur qui veut voir une espèce donnée, est orienté avec des coordonnées GPS. Avec les moyens modernes faits de colliers électroniques, ils peuvent localiser les différentes espèces à partir de leurs écrans d’ordinateur.

‘’Peut-être que plus tard, nous allons arriver à ce stade, mais malheureusement, ce n’est pas encore le cas’’, a dit M. Diémé selon qui, ‘’le Sénégal, malgré ses difficultés économiques, fait de gros efforts dans le cadre de la conservation’’ de ce patrimoine.

Le gestionnaire du PNNK a évoqué l’existence d’un ‘’draft de projet’’ avec l’UICN, qui prévoit des moyens de suivi, notamment aériens.

Source: APS

samedi 5 juin 2010

LES POPULATIONS DE HANN MARISTES CELEBRENT LE 05 JUIN A LEUR MANIERE

ENCORE UNE FOIS LEUR MARCHE A ETE INTERDITE....MAIS ELLES NE COMPTENT PAS BAISSER LES BRAS!
DESTRUCTION DE L’ENVIRONNEMENT DES MARISTES



Et pourtant elles étaient toutes mobilisées pour marcher ce samedi 05 juin, jour symbolique car marquant la journée internationale de l'Environnement sous le théme: Des millions d'especes-une planete-un avenir commun. Un théme qui colle bien à leur préocupation actuelle : Sauvegarder les poumons verts de Dakar, ménacer pour ne pas dire agresser, détruit, violer....Les mots ne suffisent pas pour exprimer le danger qui guette notre l'avenir de notre capitale. C'est comme si les nations unies avaient compris en poroposant ce théme. Mais Les résidents/tes des Maristes, les défenseurs de la nature et les militants/tes des Droits de l’Homme vont passer dans la tristesse la journée Mondiale de l’environnement, célébrée ce samedi 05 juin 2010.
Tristesse exprimée a travers un communiqué; et ca les autorités n'oseront peut etre pasl'interdire peut etre pas interdire. En effet, les Niayes et les deux lacs de la cité des Maristes qui constituent une des rares bouffées d’oxygène de la ville de Dakar sont en voie de disparition.
Ces POUMONS VERTS de Dakar sont attaqués de toutes parts.
Ils jouent un rôle important dans notre bien-être collectif par l’absorption de la pollution qui dépasse dans notre capitale les minimas tolérables en la matière.
S’y ajoute que ces lacs sont une zone de captage naturel pour les quelques 60 000 habitants de la localité de Hann Maristes. Si les appétits fonciers parviennent à dévorer cet espace, les citoyens habitants ces quartiers seront exposés à des inondations à l’instar de celles qui rendent la vie impossible aux populations de certaines banlieues. La menace est d’autant plus imminente qu’un promoteur «parrainé » par on ne sait QUI a tout bonnement coupé les arbres, remblayé et occupé une partie d’un lac pour faire, tenez vous bien, son business.
Les habitants de Hann Maristes, citoyens comme tous les autres sénégalais ne sauraient cautionner tant d’irresponsabilité … Que vaut un projet commercial personnel au vu de l’impact négatif que constitue le remblaiement des lacs ? Occuper les berges du lac, remblayer le lac, c’est tout simplement éliminer « la zone de captage naturel » des eaux de notre cité pour nous livrer aux affres des inondations. Nous passons sur les risques par rapport à la santé de nos familles. En dehors de tous ces problèmes, ce projet ne présente aucun sens à l’heure où nos gouvernants créent des lacs artificiels, vident ou creusent des bassins de rétention en vue de se prémunir contre les prévisions pluviométriques en Afrique de l’ouest qui classent notre pays parmi les zones à très haut risque d’inondation (Source NASA).
Nous, habitants des cités Hann Maristes, ne comptons absolument pas tolérer que des intérêts égoïstes viennent saper les énormes efforts que nous avons consentis pour accéder dignement à un logement.
Ce sont d’honnêtes pères et mères de famille qui y ont acquis leurs demeures à la sueur de leur front contrairement à certains prédateurs coupables du délit d’enrichissement sans cause.
Nous sommes d’autant plus décidés à nous battre que nous avons la légalité avec nous. Par décret 1042 du 10 Octobre 2002, le Président de la République avait créé le Programme d’Action pour la Sauvegarde et le Développement Urbain des Niayes et Zones Vertes (PASDUNES), pour contribuer à la protection des sites sensibles dont les lacs de Hann Maristes. Ce décret n’a jamais été abrogé. Mieux, en date du 10 juin 2009, en réponse à une correspondance que le Collectif lui avait envoyée, le Président de la République avait réaffirmé l’objet de ce décret.
Enfin, le Sénégal a ratifié en 1977, la Convention de RAMSAR qui protège les zones humides dont les lacs et les Niayes de Hann Maristes font bel et bien partie.
Il faut noter, par ailleurs, qu’au moment ou l’ETAT dégage des milliards pour lutter contre les inondations, les activités nocives de promoteurs aveuglés par l’appât du gain vont créer les conditions favorables à de nouvelles catastrophes aux Maristes.
Depuis nous avons frappé à toutes les portes en toute responsabilité pour nous faire entendre. Pour exprimer notre désarroi devant tant d’abus, le collectif a envoyé des correspondances aux autorités suivantes :
Le Président de la République,
Le Ministre de l’Economie et des Finances
Le Ministre de l’Environnement
Le Ministre de l’Urbanisme et de l’habitat
Le Maire de Dakar
Le Gouverneur de Dakar.
Nous sommes au regret de constater qu’en dépit de cette volonté d’alerter à temps, le Collectif n’est toujours pas entendu dans sa démarche légitime.
Il est par ailleurs troublant de noter que dans cette affaire, le préfet du Département de Dakar prend systématiquement fait et cause pour les promoteurs, ignorant royalement le sort des habitants des Maristes. N’hésitant même pas à nous intimider, il a franchi le rubicond en interdisant notre marche pacifique du 22 mai 2010 en se rangeant du côté des promoteurs privés qui n’en ont cure de la protection de l’environnement et restent déterminés à détruire notre cadre vie. Les motifs invoqués par le Préfet sur le refus de notre autorisation de marche ne tiennent pas la route, à savoir :
- Risque de troubles à l'ordre public par l'affrontement des deux camps aux orientations opposées ;
- Volonté manifeste de s'opposer à l'autorité de l'Etat sur une affaire en cours d'instruction auprès des services compétents ;
- Violation répétée du droit des tiers.

On croit rêver ! Dans quel pays sommes-nous ? Le droit de marche qui est pourtant garanti par la Constitution nous est refusé par le Préfet avec des justifications boiteuses traduisant une position partisane et scandaleuse.
Le coordonateur de notre collectif, monsieur Aliou Diakhaté a été arrêté le mardi 25 mai 2010 pour être libéré le lendemain. Il s’agit d’une volonté manifeste de chercher à nous intimider et nous démobiliser… Au contraire, cet acte n’a fait que fortifier notre collectif.
Le Collectif des Associations de Hann Maristes reste mobilisé et se battra avec la dernière énergie pour sauver leur droit à un environnement décent. C’est une question vitale pour nous et nos enfants. Nous n’entendons pas nous laisser immoler sur l’autel d’intérêts égoïstes.
En collaboration avec la Mairie de la Commune d’arrondissement de Hann Bel Air et tous les services compétents de l’Etat, les habitants de Hann Maristes sont prêts à s’approprier l’aménagement des berges du lac. Une enveloppe de 50 millions FCFA a d’ailleurs été dégagée dans le budget 2010 de la Commune. Ce qui est un premier pas.
QUE TOUT LE MONDE SE LE TIENNE POUR DIT.
Le Collectif des Résidents de Hann Maristes.
Source : communiqué de presse du vendredi 04 juin 2010

vendredi 4 juin 2010

JOURNEE MONDIALE DE L'ENVIRONNEMENT

Le Rwanda, pays hôte pour 2010 :

Des gorilles et des top models

Pour l’édition 2010 de la Journée mondiale de l’environnement, c’est le Rwanda qui a été choisi comme pays hôte. Le PNUE souhaite ainsi mettre l’accent sur la richesse naturelle de ce pays où vivent des espèces rares telles que le gorille des montagnes. Le point d’orgue des manifestations au Rwanda sera la cérémonie de baptême de 14 bébés gorilles.

Alors que le pays est confronté à de nombreux défis allant de la lutte contre la pauvreté et le développement de ressources énergétiques durables à la dégradation des terres, ce « pays des mille collines » développe des stratégies prospectives, dont le développement des énergies renouvelables comme l’énergie solaire et la production de biogaz. Le pays est déjà internationalement reconnu pour avoir interdit l’usage et la fabrication de sacs plastiques, pour ses campagnes nationales de nettoyage et pour la mise en place d’un « couloir » de protection pour les chimpanzés.

Kigali, la capitale du Rwanda, accueillera l’événement mondial, dans une myriade d’activités sur plusieurs jours pour inspirer les Rwandais, les Africains de l’Est et les gens du monde entier à agir pour la sauvegarde de l’environnement.

Sources: http://www.sequovia.com/actualites/4000-la-journee-mondiale-de-lenvironnement-2010-a-lieu-demain.html

JOURNEE MONDIALE DE L'ENVIRONNEMENT 2010

Des événements auront lieu partout dans le monde le 5 Juin pour la Journée mondiale de l'environnement...


La journée mondiale de l'environnemenr est l'occasion d'agir pour la planète autour du thème de l’année, «Des millions d’espèces, une planète, un avenir commun», des plantations d’arbres, nettoyages de rivages, concours photos, excursions ou expositions auront lieu partout dans le monde. Organisée chaque année le 5 Juin par le PNUE (Programme des Nations Unies pour l’environnement), la Journée mondiale de l’environnement est la célébration la plus largement relayée dans le monde.

Au sénégal: Plusieurs activités sont prévues dans le pays. L'université ne sera pas en reste. Un panel est prévu à l'UCAD II à 15 h sur le thème :"Gestion de la biodiversité et développement durable en Afrique". Il est organisé par ISE en partenariat avec l'Association Sénégalaise pour le Droit de l'environnement (ASDES) et le Centre d'Études des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI).. Les réflexions tourneront autour de de quatre sous-thème.

Au Brésil: la biodiversité aura une ambassadrice de charme: Gisèle Bündchen lancera un appel à ses concitoyens à se mobiliser pour l’environnement.

Informer et agir en France

Deux événements phares vont marquer cette journée du 5 Juin en France: le lancement de la campagne 10:10 par la fondation GoodPlanet et le festival Sciences Frontieres à Marseille.Au programme du festival: débats et rencontres avec des personnalités engagées pour le développement durable. Les navigatrices Catherine Chabaud et Florence Arthaud, l’humoriste Marc Jolivet ou encore les inclassables Igor et Grichka Bogdanov seront présents à Marseille.

Source: http://www.20minutes.fr/article/575583/Planete-La-biodiversite-a-l-honneur-de-la-Journee-mondiale-de-l-environnement.php

JOURNEE MONDIALE DE L'ENVIRONNEMENT 2010

La biodiversité à l'honneur de la Journée Mondiale de l'Environnement



La Journée mondiale de l’environnement (WED) est organisée tous les 5 juin depuis 1972 par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).Ce jour nous concerne tous directement. La WED a pour vocation d’être la journée d’action environnementale positive la plus importante et la plus largement célébrée dans le monde.

  • Les 4 objectifs

Célébrée tous les 5 juin, WED est pour les Nations Unies l’un des principaux moyens pour stimuler la prise de conscience mondiale sur l’environnement et encourager l’intérêt et l’action politique. Les buts de cette Journée mondiale de l’environnement est de :
• Donner un visage humain aux problèmes environnementaux
• Amener les peuples à devenir les agents actifs du développement durable et équitable
• Promouvoir la compréhension du fait que les communautés sont incontournables dans les changements d’attitudes en ce qui concerne les problèmes environnementaux
• Défendre le partenariat qui assurera à toutes les nations et à tous les peuples d’apprécier un futur plus sûr et plus prospère.

  • Le thème

Le thème de cette année, « Des Millions d’Espèces – Une planète – Un Avenir commun», souligne l’importance, pour l’homme, de la richesse des espèces et des écosystèmes de la Terre. L’occasion de souligner l’importance pour l’homme, de la richesse des espèces et des écosystèmes de la Terre. Le thème a également été choisi en soutien à cette année Internationale de la Biodiversité déclarée par les Nations Unies.


Source: http://www.sequovia.com/actualites/4000-la-journee-mondiale-de-lenvironnement-2010-a-lieu-demain.html



































vendredi 21 mai 2010

JOURNEE MONDIALE DE LA BIODIVERSITE

2010 est l’Année internationale de la biodiversité des Nations Unies (JIB). Il s’agit là d’une étape cruciale pour la préservation de la diversité de la vie sur terre.

Qu’est-ce que la diversité biologique ? Pourquoi est-elle si importante ? Pourquoi voyons-nous disparaître des espèces, des gènes et des écosystèmes à une vitesse sans précédent ? Quelles en seront les conséquences ? Quel en est le prix à payer ? Enfin, comment peut-on inverser la tendance ? Ces questions, ainsi que d'autres similaires, feront l'objet de nombreuses discussions tout au long de l'année 2010, l’objectif étant de faire mieux comprendre aux gens à quel point la biodiversité est importante pour un développement sain et durable sur terre.

Le 22 mai est un jour spécial à cet égard : chaque année, la planète célèbre alors la journée internationale de la biodiversité. C’est là l'occasion idéale pour attirer l'attention du public sur les différents aspects de cette question.

Les ministères allemands de l'Environnement, de la Protection de la Nature et de la Sécurité nucléaire (BMU) ainsi que de la Coopération économique et du développement (BMZ), en collaboration avec GEO Magazine, invitent les pays du monde entier à se rassembler dans le cadre d'un projet mondial visant à faire mieux comprendre au public les enjeux de la thématique «Biodiversité et développement », qui a été choisie pour le 22 mai 2010.

source:http://www.biodiversity-day.info/bday2010-home.html?&L=2

jeudi 13 mai 2010

DEUKUWAAY DU 12 MAI 2010 SUR OCEAN FM

Votre émission a reçu mercredi le président de l'Association des Locataires du Sénégalais, Elimane SALL. Le sujet de discussion a essentiellement tourné autour du problème du loyer à Dakar, plus précisément de sa cherté. M. SALL soutient que "l'État doit mettre sur pied une structure centrale regroupant tous les segment de la société ainsi que le acteurs du loyers pour réfléchir sur cette question devenues préoccupante. Il s'est également prononcé sur la commission d'enquête parlementaire, dirigée par le Pr Iba Der THIAM, qui compte très prochainement déposé une proposition de loi sur le loyer. "C'est une initiative à saluer" dit-il avant d'ajouter que "le problème se situe dans l'application de la loi". Le président de l'ALS s'est aussi prononcé sur le programme "une famille, un toit" récemment lancé par le gouvernement. Me El DIOUF, député et membre de la commission d'enquête parlementaire, Momar NDAO, de l'ASCOSEN, et membre du Conseil économique et social ainsi que Pape Mody SOW, Secrétaire Général du Parti de l'Espoir et du Progrès (PEP) ont également réagi dans cette émission. Écouter...(Emission en Wolof)


mercredi 12 mai 2010

HYGIENE : Me WADE INVITE LES SENEGALAIS A LA PROPRETE

Le président Abdoulaye Wade a exhorté, mercredi à Dakar, les Sénégalais à imiter les bons exemples de propreté qu’offrent certains pays comme le Rwanda et l’Ouganda.(source:seneweb.com)





Citant nommément ces Etats comme des modèles de propreté, Me Wade qui inaugurait la nouvelle gare maritime du port de Dakar a dit : ’’Nous, Sénégalais, devons être capables de faire la même chose. Je l’ai dit plusieurs fois, mais je n’ai pas été suivi. Nous n’avons pas été les premiers dans la propreté’’.

Il a ainsi invité le peuple sénégalais à ’’éviter de jeter n’importe quoi par terre’’.

’’Il faut, a insisté le Chef de l’Etat, qu’on fasse cet effort. On ne peut pas utiliser les agents de police ou les gendarmes derrière les gens. Conservons avec nous tous ces petits objets, pour aller les mettre là où il faut’’.

Selon lui, ’’Le Sénégal sera un bon exemple de propreté, le jour où les femmes se mettront sur cette voie. Tout le monde suivra. Je compte sur elles.’’

samedi 8 mai 2010

PROJET DE PROPOSITION D'UNE LOI SUR LE LOYER

Le Sg du PEP approuve et propose
Le secrétaire général du parti de l'espoir et du progrés, Pape Mody SOW, a tenu ce vendredi, à l'Ecole Nationale de l'Hotelerie et de Restauration, sise à khar yalla, un point de presse sur la demande sociale. Pape Mody NIANG n'a presque rien laissé en rade; la chéreté de la vie, la pénurie du sucre, le prix du loyer à Dakar, etc...Sur cette question, le PEP se félicite de l'initiative du professeur Iba Der THIAM et compagnie. Toutefois, il demande à l'Etat d'etre plus ferme dans l'application de cette loi apres son vote à l'Assemblée nationale. Pape Mody NIANG a également suuggéré que les sociétés comme la Sicap et la SN HLM, soient réahabilitées dans leur mission originelle. En outre, le SG du parti de l'espoire et du pogrès pense que la société Hammo, qui a joué un role importan dans le logement social au Sénégal, doit etre réhabilitée. Ecouter Pape Mody SOW...

JOURNEE MONDIALE DES OISEAUX MIGRATEURS

Plus d'une espéce d'oiseaux migrateurs sur dix menacées selon PNUD
Près d'une espèce d'oiseaux migrateurs sur dix est menacée de disparition, un ensemble de mesures devant être pris pour les protéger, lit-on dans un communiqué publié vendredi par le service de presse du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE)."Le fait de concentrer en 2010 notre attention sur les oiseaux migrateurs les plus menacés de disparition constitue un appel supplémentaire adressé aux gouvernements afin d'entreprendre de nouvelles mesures au niveau international pour protéger ces oiseaux dans toutes les régions qui constituent leur habitat", a déclaré Elizabeth Maruma Mrema, secrétaire exécutif de la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS), citée dans le communiqué.Selon la responsable, 12,4% des 9.800 espèces d'oiseaux sont menacées de disparition. Sur les 1.800 espèces d'oiseaux migrateurs 11% sont classées comme "en danger".Le communiqué, publié à la veille de la Journée mondiale des oiseaux migrateurs, fêtée les 8 et 9 mai, appelle à empêcher la destruction de leur habitat, à stopper la pollution et à mettre un terme à l'anéantissement commercial de ces oiseaux.Le thème de la Journée sera “Sauvons les oiseaux migrateurs menacés - chaque espèce compte !”. II est étroitement lié à l’Année internationale de la biodiversité (AIB) 2010 organisée par les Nations unies. Selon l'UNEP, la Journée sera célébrée dans plus de 40 pays.

JOURNEE MONDIALE DES OISEAUX MIGRATEURS

Le théme de cette année est consacré aux obstacles à la migration


Les Secrétariats de l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (PNUE/AEWA) et de la Convention sur les espèces migratrices (PNUE/CMS) sont heureuses d'annoncer que le compte à rebours pour la Journée Mondiale des Oiseaux Migrateurs 2009 a commencé. La campagne de sensibilisation aura lieu pour la quatrième année consécutive, dans le monde entier, et durera 2 jours, les 9 et 10 mai 2009.Cette année, le thème central de la Journée Mondiale des Oiseaux Migrateurs (JMOM) est "LES OBSTACLES À LA MIGRATION", mettant l'accent sur les menaces que constituent les obstacles, érigés par l'homme, que rencontrent les oiseaux durant leur migration annuelle.
Et en plus, l'homme a créé des obstacles supplémentaires qui viennent encore compliquer leur voyage. Chaque année, le nombre de structures créées par l'homme - telles que lignes à haute tension, parcs éoliens, émetteurs de télévision et mâts de transmission téléphonique, vitres, gratte-ciel et autres, continuent de croître sans tenir compte des itinéraires de migration et des sites importants dont se servent les oiseaux migrateurs.
Ces structures créées par l'homme entraînent des collisions pouvant causer des accidents mortels. Beaucoup d'oiseaux et notamment ceux qui migrent pendant la nuit, ne reconnaissent pas ces obstacles et se cognent aux lignes à haute tension, s'écrasent contre les vitres ou les pales rotatives des éoliennes. Ils ne s'arrêtent plus sur leurs sites de repos habituels lorsque ces derniers sont recouverts de parcs éoliens, ou font fausse route quand ils sont attirés par les lumières des mâts de communication et des tours. Les pertes résultant de ce genre d'impacts se chiffrent chaque année par des effectifs très élevés d'oiseaux morts ou blessés.

mercredi 5 mai 2010

INONDATIONS ET CATASTROPHES NATURELLES



NOUVEAUX DÉFIS A RELEVER EN AFRIQUE DE L’OUEST ET DU CENTRE

(Praia/Dakar, 5 mai 2010) : Source OCHA: Les états de l’Afrique de l’Ouest et du Centre ont ouvert ce mercredi, 5 mai, à Praia, une conférence régionale sur les inondations et les catastrophes naturelles visant à améliorer leurs capacités à répondre à ces désastres qui chaque année affectent des milliers de personnes.


Trois jours durant, les techniciens gouvernementaux et des experts en gestion des catastrophes feront la revue des inondations de l’année 2009, établiront des stratégies de réponse pour les prochaines pluies, et échangeront sur des phénomènes tels que les tremblements de terre, les éruptions volcaniques et autres catastrophes naturelles. La recherche et le secours en milieu urbain et maritime, l’évaluation et la coordination des catastrophes, et les politiques régionales en matière d’action humanitaire et de réduction des risques sont également à l’ordre du jour de cette conférence qui a été ouverte par le premier ministre du Cap Vert, José Maria Neves.

Déjà sujette à une vulnérabilité humanitaire chronique, l’Afrique de l’Ouest et du Centre fait face depuis quelques années aux problèmes récurrents des inondations et autres catastrophes naturelles. Les inondations –catastrophe naturelle la plus largement partagée dans la sous-région– ont affecté plus 1,8 millions de personnes depuis 2007. En 2009 de nombreuses villes, y compris des villes sahéliennes, ont connu des pluies torrentielles qui ont causé des pertes en vies humaines, en bétail et la destruction d’infrastructures socio-économiques importantes. Les pluies intenses qui se sont abattues pendant plus de dix heures à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, le 1er septembre ont provoqué 8 morts, affecté 150 000 personnes, et détruit l’hôpital principal ainsi que d’autres infrastructures. D’autres risques tels la montée du niveau de la mer et les orages menacent aussi la région : Abidjan, Conakry, Dakar, Monrovia et Lagos sont les villes de la région les plus menacées par ces deux phénomènes.

« Les catastrophes naturelles nécessitent un engagement politique et un investissement financier et humain sans précédent pour poursuivre les efforts en cours dans la lutte contre la pauvreté » a déclaré Hervé Ludovic de Lys, chef du Bureau de la coordination des affaires humanitaires pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre (OCHA).

Organisé depuis 2007 par OCHA et la Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la consultation régionale mettra l’accent sur l’alerte précoce et la préparation, deux éléments clés qui permettent d’anticiper sur les dégâts potentiels.

« Une coordination renforcée entre les institutions gouvernementales, le mouvement Croix-Rouge et Croissant-Rouge, et les agences du système des Nations-Unies dans la préparation et la réponse aux catastrophes, permettra une meilleure rationalisation des ressources, d’apporter les secours aux communautés en temps opportun et, espérons-le, de sauver davantage de vies » note Youcef Ait-Chellouche, Coordinateur de la Gestion des catastrophes pour la FICR en Afrique de l’Ouest et du Centre.


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vendredi 23 avril 2010

DEUKUWAAY DU 21 AVRIL SUR OCEAN FM 98.7


DEUKUWAAY votre émission hébdomadaire qui passe sur la 98.7 Océan FM Dakar et portant sur l'environnement et le développement durable a recu mercredi 21 Avril, Idrissa DIALLO, Maire de la commune d'arrondissement de Dalifort Forail et Mamadou Mansour DIAGNE, chargé de programme à Enda écopop. Le théme débattu a porté sur le forum organisé, le mercredi dernier par la commune de Dalifort sur les réponses aux inondations. Les invités ont également abordé entre autres questions, l'importance du budget participatif pour les collectivités locales, les impacts environnementaux et écologiques de l'autoroute à péage, le conseil présidentiel sur les inondations,...etc. Réecoutez l'émission en wolof....